Vous êtes-vous déjà remis en question l’espace d’un instant, pensant que vous n’étiez pas dans le bon secteur, la bonne industrie, les bonnes études … ? C’est probable.
Voulez-vous avoir une carrière pleine de succès ? Une dans laquelle vous êtes épanouis, heureux, passionnés et qui vous permette de subvenir à vos besoins. La bonne nouvelle ? Ce n’est pas réservé à une élite de d’intellectuels privilégiés. N’importe qui peut faire une grande carrière.
Je vous présente Born For This de Chris Guillebeau. C’est un livre sur comment avoir une carrière pleine de succès. Plus précisément, c’est une sorte de discussion pas seulement sur le fait d’être bon dans ce que l’on fait, mais aussi faire quelque chose qui nous rapporte de l’argent et nous permette d’être heureux. L’auteur le dit lui-même: « find work that feels like play, yet also has meaning and a good paycheck attached to it».
Êtes-vous heureux et curieux dans ce que vous faites ?
Le premier pilier est de trouver ce qui nous rend heureux et attire notre intérêt. Cela paraît évident, mais n’est pourtant que peu répandu. On peut en effet dire que la communauté entrepreneuriale est composée d’individus plus heureux et intéressés par ce qu’ils font. Cependant, beaucoup ne savent pas encore quelle est l’activité la plus bénéficiaire à ce sujet.
Quels sont vos talents ?
Le deuxième pilier consiste à utiliser des talents qui nous sont uniques. Ceux qui nous séparent de notre compétition et qui nous sont propres. Ce sont des talents qui peuvent être qualifiés d’innés. Tout le monde en a ; il y a simplement ceux qui les connaissent et ceux qui doivent encore explorer. Autrement dit, si vous n’avez pas encore trouvé, continuez à chercher ! Ne vous arrêtez pas !
Et l’argent dans tout ça ?
Le troisième pilier est l’argent qui découle de notre travail. Cet argent est le moyen quantitatif qui permet de mesurer la récompense du temps que l’on passe à accomplir nos rêves. « The more we focus on solving other people’s problems, the more successful we will be ».
La clé ici est de se concentrer sur ce qu’on peut gagner tout en subvenant à un besoin dans le monde. Plus le besoin sera grand, plus la récompense sera grande en retour.
Faut-il avoir un plan de secours ?
L’auteur parle ensuite d’une autre problématique qui touche la plupart (si ce n’est la totalité) des entrepreneurs : les plans de secours. Une alternative que l’on garde en réserve au cas où notre plan A ne marche pas.
Ce que dit l’auteur ?
Se dire que ce n’est pas grave si le plan A ne marche pas car il y a un plan B, un plan C, etc., car comme il dit le dans le livre, si le plan A ne marche pas, il vous reste encore 25 lettres… Pas mal non ?
Le réel avantage d’avoir ce plan B est de pouvoir se détacher de notre travail et de pouvoir voir les choses telles qu’elles sont pour décider s’il faut arrêter notre entreprise et passer à autre chose. Ce plan B nous offre cette « autre chose » et nous permet de ne pas persister à entreprendre sans (réel) espoir de succès.
Une autre chose qui m’a inspiré pour cet article, est qu’il nous dit que, souvent, nous regardons avec émerveillement les gens qui réussissent malgré leurs erreurs, et nous pensons que c’est de la chance.
En réalité, ceux qui ont eu beaucoup de succès sont des gens qui ont réussi grâce à leurs erreurs. Ils ont appris de leurs erreurs.
Never give up is a bad advice. Real winners won’t hesitate to walk away from an unsuccessful venture. Master the art of moving on by learning when to quit and when to keep going. chris guillebeau
Finalement, la qualité qu’il faut maîtriser, c’est l’art d’apprendre continuellement, de continuer à avancer malgré nos erreurs et en apprendre. C’est le fait de persister dans nos efforts et non pas le fait de ne pas abandonner qui est important.
Alexis Daroussos
Last modified: 31 août 2020